Selon différentes études, la reconnaissance au travail est un levier de fidélisation et de mobilisation qui arrive loin devant la rémunération. On peut donc affirmer qu’il s’agit d’une pratique payante pour les organisations. Pourtant, seulement 10 % des personnes exprimeraient de la reconnaissance au travail sur une base quotidienne, et 60 % ne le feraient que rarement ou jamais. Résultat : 1 Québécois sur 2 dit manquer de reconnaissance au boulot.
Ce manque de reconnaissance constitue d’ailleurs la deuxième source de détresse psychologique après la surcharge de travail. C’est aussi la première motivation qui pousse les gens à quitter leur emploi.La pratique de la reconnaissance au travail est plus que jamais essentielle pour les gestionnaires.
Pourtant, elle suscite encore plusieurs malaises chez ceux-ci: peur d’attiser la jalousie et la compétition, peur des coûts cachés, manque de temps ou encore d’habiletés.
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