1949-2024
L’année 2024 marque le 75e anniversaire de l’Association Hôtellerie du Québec. C’est en 1949 qu’est née l’AHQ, d’abord comme l’Association professionnelle des hôteliers du Québec, fusion de l’Association des hôteliers de la province de Québec et l‘Association des hôteliers de campagne. Plus tard, une nouvelle association, dénommée Association des hôteliers de la province de Québec, voit le jour. Elle compte alors 903 membres et devient ainsi le porte-parole officiel de la profession auprès des autorités compétentes qui deviendra ensuite l’actuelle Association Hôtellerie du Québec.
Restez connectés, de belles surprises vous attendent tout au long de l’année!
LIVRE PRESTIGE
L’Association Hôtellerie du Québec vient de graver ses 75 années d’existence dans un livre souvenir qui retrace l’histoire de l’industrie hôtelière depuis 1949, en mettant en lumière les moments forts du parcours de l’association provinciale.
Vous y retrouverez des anecdotes, des témoignages, des données sur l’industrie au fil des ans, des photos d’archives, et bien plus …
SOIRÉE GALA
Les 75 ans de l’association seront célébrés lors d’une soirée gala, le 29 octobre, dans le cadre du congrès Hôtellerie et Spas, organisé par l’AHQ et l’AQS.
Soyez de la partie !
Saviez-vous que ?
C’est avec une grande joie que l’AHQ entame les festivités de sa 75e année d’existence en lançant une série de quiz captivants intitulée « Saviez-vous que? ».
Embarquez avec nous pour un voyage dans le temps, précisément à partir de 1949, une année clé dans l’histoire de notre association et de l’industrie hôtelière.
Répondez à la question de la semaine!
Réponses des quiz passés
Qui a fondé l’Association des hôteliers du Québec en 1949 ? Cliquez pour découvrir la réponse!
Le fondateur de l’Association des hôteliers du Québec est Me Gérard Delage.
Biographie de Me Gérard Delage
M. Delage s’est illustré en tant que figure emblématique de l’industrie dès 1944 lorsqu’il fut nommé conseiller juridique de l’Association des hôteliers de campagne, qui fut ultérieurement rebaptisée l’Association professionnelle des hôteliers du Québec. Au fil des années, il a élargi son champ d’action en assumant également le rôle d’administrateur de l’Association des hôteliers de la province de Québec, fonction qu’il a exercée avec dévouement jusqu’en 1980.
Sa contribution exceptionnelle s’est manifestée à travers une implication active dans d’innombrables débats et démarches. Grâce à ses efforts incessants, l’industrie touristique a connu des avancées significatives, telles que la libéralisation de la législation entourant les boissons alcooliques, la création d’un ministère dédié au Tourisme, la mise en place d’une classification des établissements d’hébergement, et la revalorisation du tourisme québécois. Gérard Delage demeure ainsi un acteur majeur dont l’influence a profondément marqué le paysage de l’industrie touristique au Québec.
Les autres noms étaient tous des anciens présidents :
- 1950 à 1951, Me J.E. Chaput de l’Hôtel Joliette à Joliette
- 1952 à 1953, Albert Frossard du Ritz Carlton à Montréal
- 1953 à 1954, Bertrand Garon du Manoir Victoria à Victoriaville
- 1955 à 1956, Joseph Desbiens de l’Hôtel Chicoutimi à Chicoutimi
Ces figures éminentes ont joué un rôle crucial dans la formation des bases solides de l’association au cours de ses premières années.
Cette année, les hôteliers ont dû gérer bien des déceptions de clients en lien avec le mauvais temps, selon vous, était-ce mieux avant ? Cliquez pour découvrir la réponse!
Voici ce que Gérard Delage avait à dire à ce sujet en 1959 dans son éditorial intitulé : « Par ciel gris : la vie en rose »
Comme disait Mark Twain : « Tout le monde parle du mauvais temps, mais personne ne fait rien pour l’améliorer ! »
Il ne fait aucun doute que la plus grande source de désappointement qui existe à travers le monde est la mauvaise température.
Les parades, les mariages, les pique-niques, les joutes sportives et même les funérailles attirent moins de monde quand le ciel se fait inclément.
La réciproque est également vraie.
Quand il fait trop beau, les marchands d’imperméables, de parapluies, de caoutchoucs et de couvre-chaussures se plaignent amèrement d’une baisse considérable dans leurs affaires.
Allez donc faire plaisir à tout le monde !
Dans le domaine du tourisme, l’excès de pluie ou la pénurie de neige sont des calamités vraiment désastreuses.
L’hôtelier et le restaurateur, de même que tous ceux qui profitent du tourisme, et ils sont légion, s’arracheraient donc le peu de cheveux qu’ils ont sur la tête, s’ils ne faisaient pas contre mauvaise fortune … bon cœur.
Quand le temps est maussade et que les clients s’en plaignent, il ne faut donc pas jouer les chevaliers de la triste figure, mais rayonner de joie comme si de rien n’était.
Ce qui revient à dire que, même en face des intempéries, le patron doit toujours être un Roger-Bontemps.
Le patron, et tous les membres de son personnel.
Mais encore là, la politique du sourire n’est pas tout, même s’il est fendu jusqu’aux oreilles.
C’est ici qu’un intérieur accueillant, une décoration pimpante et une atmosphère joyeuse et intime infuseront nécessairement du soleil dans la maison.
Si vous ajoutez au sourire du patron et à la belle façon de l’établissement des repas réconfortants, des jeux de société, de la danse, du cinéma ou tout autre passe-temps d’intérieur, vous avez alors gagné la partie.
Par contre, si le climat est aussi lamentable à l’intérieur qu’à l’extérieur, le client s’empressera de retourner chez lui avec de bien tristes souvenirs.
Parce que, vous voyez, quand on quitte sa maison, c’est pour trouver mieux ailleurs.
Si tous ceux qui recherchent le voyageur n’ont pas tout ce qu’il faut pour l’intéresser, beau temps, mauvais temps, ils font mieux de fermer leur porte.
Car, en définitive, qu’on le veuille ou non, le propre de la température c’est d’être capricieuse : n’oublions pas que c’est un mot féminin.
Gérard Delage
Éditorial, La Revue Hôtellerie, Septembre 1959
Outre la conclusion provenant d’une autre époque, disons que le texte a plutôt bien vieilli !
La bible a longtemps été un objet très présent dans la plupart des chambres d’hôtels au Québec et ailleurs dans le monde. Selon vous, quelles sont les raisons qui expliquaient ce lien entre la bible et l’hôtellerie ?
– Il s’agit d’une pratique plus que centenaire
– L’objectif de l’association des Gédéons étaient de retrouver une bible dans chaque chambre où ils se déplaçaient.
– Les bibles étaient généralement offertes gratuitement aux hôteliers
– Elles permettaient de réconforter les âmes esseulées…et même éviter des suicides
– C’était un moyen d’amoindrir le fait que les hôtels étaient parfois considérés comme des lieux de péchés
– Cela était ancré dans les pratiques, sans remise en question
En effet, il y a plusieurs raisons qui expliquent cette tradition bien connue de l’ensemble des hôteliers. Nous vous invitons à consulter un très bon texte du Devoir de 2017, rédigé par Diane Précourt, qui explore les multiples raisons de cette présence dans les tiroirs des tables de chevet.
Lien de l’article : https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/162080/voyageries-la-bible-dans-les-chambres-d-hotel-c-est-sacre
Voici également plus haut une petite photo tirée de La Revue Hôtellerie datant de 1949 qui annonce une entente entre l’Association des Hôteliers et la Société Catholique de la Bible pour l’impression de milliers de copies au coût de 1,00$ l’unité.
Lors de votre prochain séjour à l’hôtel, prenez le temps de vérifier si la bible s’y trouve toujours!
Le Westin Mont-Royal (maintenant Omni Mont-Royal) a été témoin d'un célèbre mariage en 1994, lequel ?
Plus de 500 invités étaient présents, sans compter les 200 médias venus des quatre coins du monde pour couvrir cet événement.
À l’époque, on estimait que le budget pour les fleurs uniquement oscillait entre 100 000$ et 200 000$!
Au menu, on y retrouvait notamment du tartare de saumon, des ravioles de confit de canard, une jambonette de volaille et une trilogie de sorbets.
Fidèle à la passion pour le jeu de René Angélil, un casino avait été installé et chaque invité avait reçu 3 000$ de jetons.
On imagine que tous les employés de l’hôtel qui ont travaillé de près ou de loin à l’organisation de cette journée mémorable en gardent de merveilleux souvenirs.
Travailler en hôtellerie, c’est aussi être témoin d’événements qui marquent l’histoire!
En quelle année a été instaurée au Québec cette tradition que tous les étudiants attendent avec impatience chaque hiver ?
Au niveau touristique, il s’agit d’une période achalandée pour les stations de ski, les cinémas, les musées et les centres de plein air et bien entendu, les hôtels particulièrement les établissements de villégiature. Quelques défis s’imposent, notamment la disponibilité des employés et les conditions météorologiques qui peuvent rapidement changer les plans des invités.
Pour plus de détails, nous vous invitons à regarder cet article du Devoir de François Desjardins datant du 4 mars 2023 qui explique les origines de cette semaine de pause ainsi que les impacts sur le tourisme.
https://www.ledevoir.com/societe/education/372413/la-semaine-de-relache-c-est-grace-a-lui
Bon début de période de relâche à tous!
Quel hôtel québécois n’a jamais eu la chance de renaître de ses cendres ?
Saviez-vous que… l’Auberge Hatley n’a pas été reconstruite après un incendie dévastateur en 2006.
Voici quelques informations intéressantes pour chacun des établissements :
Auberge Hatley – 27 mars 2006
Initialement la maison de John Holt, fondateur des magasins Holt Renfrew, l’Auberge Hatley était fermée lors de l’incendie. Outre tous les dommages matériels et la perte de ce joyau patrimonial, on mentionnait la destruction de la cave à vin d’exception dont la valeur s’approchait du million de dollars.[3]
Château Frontenac – 14 janvier 1926
Des milliers de personnes sont venues assister, impuissantes, à l’incendie qui s’est probablement déclaré dans une chambre inoccupée. À l’époque, les dommages étaient évalués à plus d’un million de dollars.[1]
Hôtel Sacacomie – 31 octobre 1996
Le premier hôtel n’était ouvert que depuis quelques mois lorsque le feu a complétement détruit l’établissement en cette journée d’Halloween. La construction en bois rond a été préparée en pièce sur pièce à Papineauville, située à près de 250 kilomètres de l’hôtel, avant d’être remontée sur le site actuel.[2]
Manoir Richelieu – 12 septembre 1928
La saison estivale était déjà terminée lorsque l’incendie s’est déclaré lors de la période de fermeture au mois de septembre 1928.[4] Il aura fallu moins d’un an pour reconstruire le tout alors que le Manoir ouvre le 15 juin de l’année suivante. Des centaines d’employés ont travaillé sans relâche pour réussir ce défi gigantesque.[5]
Hôtel & Spa Mont Gabriel – 2 décembre 2022
C’est en plein début de la saison du ski et des partys des fêtes que l’hôtel a été détruit par les flammes. Dans une entrevue accordée à Mélody Lardin dans TourismExpress, Martin Lavallée, directeur général de l’époque mentionne avoir été touché par les encouragements de la communauté, des clients et des fournisseurs.[6]
Hôtel Clarendon – 23 janvier 2019
Une année avant de souffler ses 150 bougies, cet hôtel a subi des dommages importants. Plus de 80 pompiers ont été dépêchés sur place pour limiter les dégâts. Heureusement, aucun blessé n’a été déclaré, ce qui demeure le plus important.
[1] https://tolkien2008.wordpress.com/2014/01/28/lincendie-du-chateau-frontenac-quebec-1926/
[2] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3304500
[3] https://www.ledevoir.com/societe/105424/l-auberge-hatley-rasee-par-un-incendie
[4] https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/quebec/evenements/20005
[5] https://moncharlevoix.net/souvenirs-du-jour/chronique-historique-une-photo-une-histoire-2
[6] https://tourismexpress.com/nouvelles/entrevue-martin-lavallee-hotel-spa-mont-gabriel-au-coeur-d-une-dure-epreuve-le-cote-humain-par-melody-lardin?_t=1675105362
Selon vous, quelle appellation est la plus utilisée par les établissements hôteliers québécois ?
Motel est l’appellation la plus utilisée par les établissements hôteliers québécois !
Auberges : Les auberges sont souvent des endroits plus petits dans lesquels l’accueil, la nourriture et la tranquillité sont au rendez-vous. Au nombre de 299, elles se sont taillées une place de choix dans le cœur des touristes. Qu’elles portent le nom de 21 ou 777, qu’elles soient sur mer ou des îles, qu’elles soient situées sur le Lac Taureau, le Lac Morency, le Lac St-Pierre ou le Lac-à-l’Eau-Claire, on en trouve définitivement pour tous les goûts.
Manoir : Au nombre de 37, les manoirs nous invitent à faire un retour dans l’histoire dans des demeures au cachet incomparable. On connait bien les luxueux manoirs comme Le Stonehaven, le Hovey ou le Richelieu. Il y a aussi ceux dans lesquels on se sent comme à la maison comme Le Belle Plage ou le Lac William. Dans tous les cas, attendez-vous à passer un bon moment.
Château : Bromont, Montebello, Roberval, Vaudreuil et Joliette ont chacun le leur. Au total, on retrouve 33 établissements hôteliers qui utilisent ce terme dans leur nom commercial. Le plus connu de tous demeure le Château Frontenac, mais certaines versions plus modernes comme celui de Laurier ou Champlain font très bonne figure.
Quel service obtenait le plus haut taux d’insatisfaction en 1959 ?
Les services des salons de barbier étaient classés parmi les moins satisfaisants en 1959.
Cela n’est peut-être pas un hasard si la présence de salon de barbier se fait plutôt rare dans nos hôtels.
Parmi les services les plus appréciés de la clientèle, il est possible de les classer ainsi selon leur taux de satisfaction :
1) Boissons (99%)
2) Buanderie (98%)
3) Valet (96%)
4) Garçons de table et chasseurs (égalité à 95%)
5) Chambres (94%)
L’article donne également quelques moyens jugés efficaces à l’époque en ce qui concerne les sondages auprès des clients :
• On augmente les chances d’obtenir des commentaires favorables si le sondage papier est accompagné d’une lettre provenant d’une compagnie externe;
• Il est bien de compiler les résultats et de les présenter de manière claire;
• L’utilisation de client-mystère est un beau complément aux sondages de satisfaction.
L’article se termine sur cette phrase qui fait toujours autant de sens en 2024 :
« C’est une chose de trouver ce qui ne va pas, et une autre chose d’y remédier. »
(Source : Revue L’Hôtellerie, Août 1959)
Quelle thématique n’a pas été abordée lors du congrès de l'association en 1999 ?
Le bogue de l’an 2000 n’a pas été abordé lors du congrès du 25e anniversaire de l’AHQ.
Comme vous pouvez le constater, la programmation touchait à des enjeux qui sont encore d’actualité aujourd’hui. Une soirée gala sur le thème de 50 ans de réalisation, un cocktail mettant en vedette la relève et même une visite à l’Hippodrome de Montréal complétaient les activités offertes.
25 ans plus tard, l’AHQ ne manquera pas de vous impressionner une nouvelle fois, cette fois-ci, au Sheraton Laval.
https://www.hotelleriequebec.com/congres/congres-ahq-hotellerie-spa-quebec/
Il y a 75 ans, les hôteliers ne pouvaient pas se présenter aux élections municipales, savez-vous pourquoi ?
Alcool et élection ne faisaient pas bon ménage à l’époque. En effet, en plus des hôteliers, les restaurateurs, les taverniers, les cabaretiers, les cafetiers et les aubergistes qui détenaient un permis d’alcool ne pouvaient espérer atteindre le poste de maire ou d’échevin dans leur municipalité.
Voici quelques autres règles applicables à l’époque :
- Interdiction de vendre de l’alcool entre 2 h 00 et 8 h 00 à Montréal, alors que cette période débutait à 1 h 00 à Québec et à minuit dans le reste de la province;
- Les jours de fête, la vente de vin ou de bière était permise seulement entre 13 h 00 et 21 h 00 et uniquement avec la consommation d’un repas;
- L’âge minimal pour consommer était de 20 ans;
- Interdiction de vendre de l’alcool a quelqu’un qui est déjà intoxiqué.[1]
Les lois évoluent pour le mieux, mais on remarque tout de même que certains principes sont sensiblement les mêmes aujourd’hui.
Et heureusement, les hôteliers peuvent maintenant aspirer à devenir maire de leur ville ou village.
[1] L’histoire législative de l’alcool au Québec, (1774-2010), Luc Le Blanc pp 68-69 https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3530562
En quelle année le gouvernement libéral de Jean Lesage a-t-il créé le ministère du Tourisme ?
Le ministère du Tourisme a été créé en 1963.
En effet, l’AHQ existait depuis déjà près de 15 ans lorsque le ministère du Tourisme a été créé par le gouvernement de Jean Lesage, le 1 avril 1963. On célèbre donc son 61e anniversaire.
Ce ministère a été tout d’abord associé à la chasse et à la pêche (1963 à 1979), puis à l’industrie et au commerce (1979 à 1984) avant de devenir un ministère à part entière pour la première fois.
Parmi les ministres qui ont été responsables de ce merveilleux secteur de l’économie le plus longtemps, on note Yves Duhaime (1976-1981) et André Vallerand (1989-1994). Toutefois, le record de longévité revient à la ministre actuelle, Caroline Proulx qui veille sur notre industrie en continu depuis le 18 octobre 2018.
Quelle région touristique propose le plus grand nombre d’entreprises d’hébergement touristique au Québec ?
Voici les régions par ordre d’importance :
1) Laurentides (2 854)
2) Cantons-de-l’Est (1 663)
3) Québec (1 635)
4) Lanaudière (1 366)
5) Charlevoix (1 132)
6) Gaspésie (958)
7) Saguenay-Lac Saint-Jean (931)
8) Outaouais (860)
9) Chaudière-Appalaches (858)
10) Mauricie (758)
11) Bas-Saint-Laurent (704)
12) Montréal (573)
13) Montérégie (430)
14) Côte-Nord (397)
15) Abitibi-Témiscamingue (299)
16) Îles-de-la-Madeleine (246)
17) Centre-du-Québec (222)
18) Eeyou Istchee Baie-James (67)
19) Nunavik (61)
20) Laval (28)
Si vous souhaitez tous les essayer, il est préférable de commencer dès maintenant puisque cela vous prendra un peu moins de 47 ans pour y arriver.
Quelle est la plus ancienne des chaînes hôtelières québécoises ?
Marineau est la plus ancienne des chaînes hôtelières québécoises.
Voici en ordre chronologique le développement de différentes chaînes hôtelières québécoises :
1932 – Marineau : C’est en 1932, après la crise financière, que Joseph Marineau développe cette chaîne en Mauricie. La chaîne possède présentement quatre établissements à Shawinigan, Mattawin et La Tuque.
1963 – Le Dauphin : Jean-Claude Milot inaugure l’Hôtel et Suites Le Dauphin Drummondville, qui plus de 60 ans plus tard, est toujours dans la famille.
1964 – Gouverneur : Le premier établissement de la chaîne a ouvert ses portes à Sainte-Foy avant de se développer à travers plusieurs régions du Québec au fil des ans. En 2017, le premier établissement de la nouvelle bannière OTL par Gouverneur a été inauguré à Sherbrooke.
1976 – Hôtels JARO : L’entreprise a démarré dans l’hôtellerie en acquérant le Motel Québec Inn. Fondée par Jacques Robitaille, Les Immeubles Jacques Robitaille inc. ont d’abord investi dans les immeubles résidentiels avant de se tourner vers les hôtels en 1987.
1988 – Germain : C’est en avril de cette même année que l’Hôtel Germain-des-Prés, premier hôtel de ce qui allait devenir un des plus grands succès de l’hôtellerie au Québec, ouvre ses portes à Sainte-Foy. Pour sa part, la bannière Alt connaîtra un succès dès 2007 avec son premier établissement à Brossard.
1989 – Normandin : Présent dans la restauration depuis 1969, ce n’est que 20 ans plus tard que Normandin se lance en hôtellerie avec l’ouverture de son premier établissement, encore une fois à Québec.
1997 – Riôtel : Bertrand et François Rioux créent la bannière Riôtel qui se trouve à être la contraction de mots « Rioux » et « Hôtel » avec la conversion de deux de leurs établissements franchisés en Gaspésie.
2005 – Grand Times : Jean Audet fonde en 2005 la chaîne Grand Times Hôtel dont le premier établissement voit le jour à Québec. On compte maintenant sept hôtels portant fièrement cette enseigne dans différentes régions.
2007 – Impéria : C’est l’homme d’affaires Jean-François Caron, accompagné d’Éric Paquette, qui ont développé la chaîne Impéria, à Saint-Eustache.
Dans quel but l’Ordre du mérite hôtelier a-t-il été créé ?
La question de cette semaine était : Dans quel but l’Ordre du mérite hôtelier a-t-il été créé ?
Vous l’aviez deviné, toutes les réponses étaient justes ! L’ordre du mérite hôtelier a été créé pour :
- Récompenser tous ceux qui ont rendu de grands services à la profession, mais qui n’en font pas partie.
- Rendre un hommage public à tous les hôteliers qui ont travaillé à rehausser la profession ou ont participé à rendre l’association ce qu’elle est aujourd’hui.
- Honorer les hôteliers qui par leurs efforts continus ont aidé financièrement l’association
- Signaler les services rendus par un hôtelier à toutes les œuvres de sa paroisse ou de sa ville.
En effet, ces prix ont été décernés à de nombreux hôteliers au fil des ans pour les différentes raisons mentionnées. Le premier récipiendaire est Me J.E Chaput en 1957. Ce concours a fait une longue pause de 1973 à 1999, puis est revenu pour quelques années avant de disparaître de nouveau.
Les titres de chevalier, commandeur, hôtelier de l’année de même que des certificats Honoris Causa ont été décernés à de nombreux membres de notre industrie pour leur contribution à notre secteur.
Parmi ceux qui ont été honorés, on retrouve :
– Michel Bélanger (1986)
– Raymond Malenfant (1987)
– Jean-Yves Milot (1993)
– Raymond St-Pierre (1994)
– Alain April (1997)
– Guy Boisclair (2000)
– Paolo Di Pietrantonio (2004)
– Alain Girard (2009)
– Nelson Théberge (2010)
– Jean-Jacques Etcheberrigaray (2010)
– Nancy Lemieux (2017)
– Marc Saunier et Jean-Cedric Callies (2018)
– Jonathan et Marika Hamel (2019)
– … et bien d’autres!
Même si ces prix nominatifs n’existent plus, nous tentons de reconnaître aussi souvent que possible l’apport de ceux et celles qui permettent à notre industrie d’évoluer. Désormais, l’AHQ décerne le prix de l’Établissement hôtelier de l’année lors de son congrès annuel. C’est l’apport et le travail de chaque membre d’une équipe permettant le succès et le rayonnement d’un établissement hôtelier, qui y est souligné.
Ces deux dernières années, ce sont d’ailleurs le Manoir d’Youville en 2022 et le Manoir du Lac William en 2023 qui ont remportés les honneurs.
Et si votre établissement était nommé hôtelier de l’année 2024 ? Candidatez dès maintenant : https://www.hotelleriequebec.com/gala-et-remise-des-prix/
Connaissez-vous le nom que portait notre association à sa création ?
Le premier nom de l’association ne semble pas très populaire! Il faut dire que le choix de cette première appellation remonte à quelques années en arrière. En 1949, elle se nommait: Association professionnelle des hôteliers du Québec. Cependant, il existait bien une Association des hôteliers de la province de Québec et une Association des hôteliers de campagne à cette époque. Les deux ont été fusionnées pour créer cette nouvelle entité.
Pour compliquer un peu les choses, on revient plus tard à l’Association des hôteliers de la province de Québec, pour finalement opter pour Association Hôtellerie Québec en 2006 et Association Hôtellerie du Québec en 2022.
Peu importe le nom donné, l’AHQ est fière de ses racines.
Quels étaient les deux symboles utilisés dans le système de classification hôtelier, il y a 50 ans ?
La question de cette semaine était : Quels étaient les deux symboles utilisés il y a 50 ans dans un système de classification à deux niveaux pour orienter les clients dans leur choix ?
Ce sont les lys pour refléter la qualité et les toits pour définir la catégorie que la classification utilisait.
Voici un détail de l’échelle pour la qualité:
Un lys – Modeste : Au moins une chambre sur cinq avec salle de bain. Lavabo dans chaque chambre.
Deux lys – Assez confortable : Au moins la moitié des chambres avec salle de bain.
Trois lys – Confortable : Au moins les deux tiers des chambres avec salle de bain
Quatre lys – Très confortable et spacieux : Salle de bain dans toutes les chambres. Plusieurs commodités.
Cinq lys – Très confortable, très spacieux : Commodités de qualité, salons privés, suites particulières.
Six lys – Exceptionnel : Comme la classe précédente, mais offre le plus haut niveau de confort matériel et sanitaire. Service impeccable
Voici maintenant les différentes catégories :
Un toit : Hébergement seulement
Deux toits : Hébergement et l’un des services suivants : petit déjeuner, repas sur demande, restauration complète, mais non sept jours par semaine
Trois toits : Hébergement et restauration complète, sept jours par semaine
Quatre toits : Hébergement, restauration complète, service de banquets et réceptions sept jours par semaine
Cinq toits : Comme la quatrième catégorie, mais en plus offre tous les services appropriés aux congrès d’envergure
En tout, cela représente plus de trente catégories différentes pour classifier les différents établissements.
En quelle année a été élue la première présidente de l’AHQ ?
C’est une certaine Alfreda Beaudoin, née Bizier, qui a occupé la première fois cette fonction pour un mandat de 1976 à 1977. En 1967, elle fait l’acquisition de l’Hôtel Chibougamau avec son mari, Lévis Beaudoin et commence d’importants travaux à cet établissement qui ne comptait que 16 chambres lors de l’achat. Un premier agrandissement de 14 chambres est réalisé en 1972, puis un second en 1979 avec 32 chambres supplémentaires dans un bâtiment qui abritait auparavant le Cinéma Vimy.
Si vous passez par-là prochainement, ayez une pensée pour cette pionnière qui devait composer avec son rôle d’hôtelière, de mère de quatre enfants ainsi que de présidente de l’association en étant située à près de 700 kilomètres de la métropole. Mme Bizier est décédée en 2011 à Chibougamau à l’âge de 80 ans.
Seulement deux autres femmes ont occupé cette fonction dont la présidente actuelle, Caroline Milot et Charlotte Hovington de l’Hôtel Jean-Dequen à Jonquière de 1989 à 1990.
Laquelle des catégories de certification était la plus fréquente il y a 50 ans ?
La catégorie la plus fréquente regroupait en effet les établissements obtenant un lys, soit un niveau modeste ayant au moins une chambre sur cinq avec salle de bain et un lavabo dans chaque chambre alors que celle pour les toits correspond au niveau 3 ce qui regroupe des lieux d’hébergement touristique qui offraient la restauration complète, sept jours par semaine.
Fait à noter, seulement cinq hôtels ont obtenu le plus haut niveau possible parmi les 3 087 établissements recensés.
Voici le tableau complet, tiré du Rapport annuel 1973/74 du Ministère du Tourisme, de la Chasse et de la Pêche (p.61).
Nombre d’établissements par catégorie
1 toit | 2 toits | 3 toits | 4 toits | 5 toits | Total | |
0 Lys | 260 | 378 | 240 | 10 | 888 | |
1 lys* | 268 | 232 | 576 | 57 | 1131 | |
2 lys | 184 | 56 | 249 | 68 | 3 | 560 |
3 lys | 88 | 26 | 165 | 102 | 10 | 391 |
4 lys | 1 | 3 | 19 | 37 | 27 | 87 |
5 lys | 11 | 14 | 25 | |||
6 lys | 5 | 5 | ||||
Total | 799 | 695 | 1 249 | 285 | 59 | 3 087 |
* : la catégorie 1 lys regroupe les établissements 1 lys ainsi que ceux ayant 1 lys blanc. Nous n’avons pas trouvé d’informations particulières sur la signification du lys blanc.
Qui a occupé le siège de président du CA de l’AHQ le plus longtemps ?
Dany Thibault a occupé le siège de président du CA de l’AHQ le plus longtemps
Il a d’ailleurs récemment partagé en vidéo un moment fort, la plus grande réalisation de l’AHQ selon lui: la reconnaissance de l’AHQ comme ATS de référence pour l’hôtellerie au Québec.
Écoutez son témoignage : https://www.youtube.com/watch?v=3sWuE17b8uo
De 1958 à 1987, la présidence a changé tous les ans avec des représentants de différentes régions touristiques à la tête.
Il est à noter que la présidente actuelle, Caroline Milot, connait bien son rôle pour avoir vu son père Jean-Yves occuper cette fonction en 1985-1986 et son grand-père Jean-Claude en faire autant en 1975-1976. Peut-être qu’une quatrième génération sera à la tête de l’AHQ pour son centenaire.
Quel est le plus grand hôtel québécois hors des deux grands centres ?
Le Fairmont Manoir Richelieu occupe la dixième place au classement des plus grands établissements hôteliers au Québec, mais est le premier en dehors de Montréal et de la ville de Québec avec ses 405 chambres.
Suivent le Hilton Lac-Leamy avec 349 chambres (15e position au total), le Fairmont Tremblant et ses 312 portes (16e) et finalement l’Hôtel Universel Rivière-du-Loup avec ses 301 unités (18e).
Les cinq plus gros hôtels au Québec en nombre de chambres sont les suivants
1) Fairmont Le Reine Elizabeth (950)
2) Le Centre Sheraton Montréal (825)
3) Marriott Château Champlain (611)
4) Fairmont Le Château Frontenac (610)
5) DoubleTree par Hilton Montréal (595)
Au total, seulement 18 établissements dans la province proposent plus de 300 unités d’hébergement sous un même toit.
Que reprochait l’AHQ aux pratiques d’hébergement de certains groupes religieux en 1975 ?
Effectivement, la plupart d’entre vous l’avaient deviné ! Dans le Journal des hôteliers de mai 1975, une lettre de Me Gérard Delage, alors administrateur, adressée aux Pères Montfortains de Drummondville à ce sujet a été republiée. Voici ce qui était écrit :
« Si nos renseignements sont bons, votre institution se permet d’offrir le gîte et la table moyennant paiement, à de nombreux visiteurs individuellement ou en groupe, et ce, depuis plusieurs mois.
Or, la Loi de l’Hôtellerie stipule qu’il est illégal si l’on ne détient pas le permis prévu à cette fin, d’accueillir et de loger les visiteurs contre versement d’une compensation, sauf si les établissements hôteliers de la localité sont totalement remplis.
Même si nous avons le plus profond respect pour vous et pour vos œuvres, l’industrie hôtelière ne peut décemment admettre qu’une institution qui vit de la charité et des deniers publics lui fasse concurrence déloyale en recevant dans ses murs une clientèle qui, normalement, devrait retenir les services d’un établissement qui opère selon les exigences de la loi.
Si vous détenez tous les permis nécessaires, si vous acquittez tous les impôts et toutes les taxes auxquels l’hôtellerie professionnelle est soumise, oubliez tout simplement cette mise au point qui ne s’applique pas dans votre cas.
Si, au contraire, vous exercez le commerce de l’hôtellerie illégalement, par pure ignorance de la loi, nous avons raison de croire et d’espérer qu’à l’avenir vous limiterez vos activités à la simple tenue des retraites fermées, ce qui est beaucoup plus de votre ressort que l’hébergement commercial. »
Force est de constater que plus ça change, plus c’est pareil!
Quelle entreprise détient le titre du plus grand établissement hôtelier de la province à l’extérieur de Montréal et Québec ?
Le Fairmont Manoir Richelieu occupe la dixième place au classement des plus grands établissements hôteliers au Québec, mais est le premier en dehors de Montréal et de la ville de Québec avec ses 405 chambres.
Suivent le Hilton Lac-Leamy avec 349 chambres (15e position au total), le Fairmont Tremblant et ses 312 portes (16e) et finalement l’Hôtel Universel Rivière-du-Loup avec ses 301 unités (18e).
Les cinq plus gros hôtels au Québec en nombre de chambres sont les suivants
1) Fairmont Le Reine Elizabeth (950)
2) Le Centre Sheraton Montréal (825)
3) Marriott Château Champlain (611)
4) Fairmont Le Château Frontenac (610)
5) DoubleTree par Hilton Montréal (595)
Au total, seulement 18 établissements dans la province proposent plus de 300 unités d’hébergement sous un même toit.
Connaissez-vous le nombre moyen de chambres par établissement hôtelier ?
Bien qu’il existe des établissements pour tous les goûts, allant des petites auberges aux grands hôtels, la quantité moyenne de chambres est de 53.
Ce chiffre peut varier légèrement selon les sources consultées, mais la moyenne tourne toujours autour d’une cinquantaine d’unités d’hébergement par établissement hôtelier au Québec.
La diversité des hôtels au Québec permet tant aux employés qu’aux clients de trouver un établissement qui leur convient parfaitement. Cette pluralité est l’une des grandes richesses de notre province, et l’AHQ est fière de pouvoir soutenir aussi bien les petits que les grands établissements dans leur développement.
(Source : Compilation Horwath HTL – 2022)
En quelle année les vacances de la construction ont pris effet la première fois ?
C’est par un décret gouvernemental en 1970 que les vacances de la construction sont devenues officielles, mais c’est seulement en 1971 que ces dernières ont pris effet.
En 2024, cette période tant attendue par plusieurs aura lieu du 21 juillet au 3 août 2024. On parle de plus de 200 000 travailleurs de la construction, accompagnés de leur famille, qui profiteront de cette période de repos salutaire.
Les hôtels sont prêts à les accueillir. Tout sera mis en œuvre pour leur permettre de se reposer et de profiter de magnifiques moments avec la famille et les amis.
Parmi les acronymes CQRHT, AQFORTH, AHRQ et AHGM, quelle lettre «h» ne correspond pas à un mot provenant du champ lexical de l’hôtellerie ?
Les connaisseurs ont rapidement trouvé la bonne réponse. Le CQRHT correspond au Conseil québécois des ressources humaines en tourisme. Ici, le «h» parle de l’humain, élément tout de même essentiel dans notre domaine.
Malgré tout, il y a un peu d’hôtellerie derrière le CQRHT, puisque le directeur général actuel, Xavier Gret a passé plus d’une décennie à soutenir les membres hôteliers à l’AHQ, débutant à la coordination des services aux membres hôteliers pour terminer à la direction générale de l’association.
L’Association hôtelière de la région de Québec (AHRQ) et l’Association hôtelière du Grand Montréal (AHGM) sont des partenaires de premier choix pour défendre les droits de l’ensemble des hôteliers. Finalement, l’Association québécoise de la formation en restauration, tourisme et hôtellerie a pour mission de travailler à la reconnaissance et à la valorisation de la relève et des carrières dans l’industrie du tourisme.
En quelle année Kéroul, un organisme à but non lucratif, a-t-il été fondé ?
Kéroul célébre en effet ses 45 ans d’existence cette année. Alors que l’inclusion et l’accessibilité sont des mots qui sont sur toutes les lèvres en ce moment, nous avons la chance de compter au Québec sur un organisme qui a permis de faire évoluer les mentalités concernant les personnes à capacité physique restreinte.
L’hôtel étant un lieu d’accueil par définition, nous souhaitons souligner l’importance de la contribution de Kéroul pour le tourisme québécois. Joyeux anniversaire et longue vie à votre mission!
Quels services ont été identifiées comme les principales lacunes des établissements hôteliers québécois en 2014 ?
Cela semble déjà bien loin, mais on se souvient tous que l’accès à internet n’était pas aussi facile et performant il y a de cela une décennie. L’autre aspect le plus souvent mentionné concernait les salles de bains qui ne répondaient pas complètement aux besoins de la clientèle.
À l’inverse, le service et l’hôtel en général étaient les éléments jouissant du meilleur score. On mentionnait également que 85% des évaluations étaient positives et que le Score global des établissements hôteliers au Québec était de 81, ce qui correspondait à une bonne réputation en ligne.
Quelle est la loi fédérale que l'Association des hôteliers du Québec cherchait à amender en 1956 pour faciliter l'obtention de prêts à long terme pour les hôteliers ?
En revendiquant le fait d’être considérés comme des entreprises de service, l’AHQ a obtenu un amendement à la Loi de la banque industrielle. Ce petit changement, bien que simple en apparence, a permis aux hôteliers d’accéder à des prêts, notamment pour assurer la rénovation, procéder à des améliorations ou même des agrandissements. Les résultats n’ont pas été longs à se faire sentir alors que dès la fin de cette décennie, on remarque plus d’achalandage, une modernisation des établissements ainsi qu’une meilleure qualité en restauration.
Ce genre de revendication qui se fait beaucoup derrière des portes closes est une bonne partie du travail qu’effectue votre association pour défendre vos intérêts.
Combien de pages compte le livre de collection célébrant le 75e anniversaire de l’AHQ ?
Comprenant des photos d’archives, des témoignages, les grands dossiers défendus par votre association et l’évolution de notre industrie, ce livre se veut un hommage à celles et ceux qui ont contribué à faire de notre industrie ce qu’elle est aujourd’hui.
Pour vous procurer votre copie, c’est ici : https://my.weezevent.com/livre-prestige-75-ans-ahq
Vous aurez la possibilité de le découvrir et le récupérer les 29 et 30 octobre, lors de notre congrès, au Sheraton Laval.
En quelle année la loi interdisant de fumer dans les salles à manger a-t-elle été adoptée ?
Le 31 mai 2006 marquait le début d’une nouvelle ère pour les clients et le personnel. Terminées les zones empestées de fumée, le goût de la nourriture altérée, les cendriers à vider entre les services et cette odeur qu’on ramenait chez nous.
Aujourd’hui, la très grande majorité de nos chambres d’hôtels sont exemptes de fumée. Il y en aura toujours quelques-uns pour s’essayer de fumer en cachette, mais les amendes salées sont assez dissuasives.
Sa Majesté la Reine Elizabeth II a effectué sa première visite à Montréal en compagnie du Prince Philip le 25 juin 1959. Dans quel établissement a-t-elle séjourné ?
Voici comment on décrivait la chambre à coucher : « La chambre à coucher à l’intention de la Reine est particulièrement délicieuse autant par sa subtilité de coloris que par son atmosphère féminine. Les murs et les accessoires sont de plusieurs tons de bleu aqua et blanc de tissu pure soie chiki. Les draperies rehaussées de valances sont dans un nouveau ton de blanc nacré bordées de frange scalamandre bleu aqua et les rideaux sont en fibre de verre blanc huître. »
https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/hotel-le-reine-elizabeth
À quelle clientèle l'organisme « Les Chevaliers de la Santé » sensibilisait-il les hôteliers en 1954 ?
Dès les années 1950, les hôteliers ont été sensibilisés à la réalité des personnes diabétiques et ont été invités à devenir des « Ambassades de la Santé », une sorte d’attestation permettant à cette clientèle de trouver plus facilement des options qui leur conviennent. L’écoute des besoins de notre clientèle demeure un fondement important de notre métier.
Quelques témoignages
D’autres témoignages sont à venir!
À votre tour, partagez-nous vos anecdotes! Que ce soit une expérience inspirante, une rencontre mémorable ou une réalisation particulière, chaque histoire contribue à tisser la trame de notre association.
Comment participer ? C’est simple ! Écrivez-nous à communications@hotelleriequebec.com et partagez votre histoire.
Ensemble, donnons vie à ces souvenirs qui ont façonné l’AHQ au fil des décennies. Merci de prendre part à cette célébration collective, de belles surprises vous attendent!
Partenaires de l’événement
L’AHQ remercie grandement les partenaires associé au 75e anniversaire pour leur soutien !
Partenaires financiers
Ambassadeurs hôteliers
Souhaiteriez-vous devenir ambassadeur hôtelier de notre 75e anniversaire ? Contactez : communications@hotelleriequebec.com.